Depuis 1961, Le CEEP assure la représentation des entreprises à participation publique et des entreprises d’intérêt économique général au plan communautaire et est officiellement reconnu comme partenaire social par la Commission Européenne.
Le CEEP
Depuis sa création en 1961, Le CEEP assure la représentation des entreprises à participation publique et des entreprises d’intérêt économique général au plan communautaire. Le CEEP est officiellement reconnu comme partenaire social par la Commission Européenne pour participer au dialogue social européen.
Il est officiellement reconnu comme partenaire social par la Commission européenne depuis la présidence de Jacques DELORS, aux côtés de Business Europe et de la CES. Ce statut lui a notamment permis d’obtenir un siège d’observateur au sein de la Convention sur l’avenir de l’Europe lors des négociations liées au projet de Constitution européenne.
Le CEEP regroupe actuellement des membres de 22 Etats membres différents, au nombre desquels l’Allemagne, la Suède, l’Autriche, l’Italie, la Pologne et l’Espagne. Y adhèrent des sections nationales, telle que la française, mais aussi quelques fédérations sectorielles (hôpitaux, radio-télévisions…).
L’activité du CEEP s’articule autour de trois commissions, elles-mêmes divisées en groupes de travail.
Le CEEP et ses actions
Pour en savoir plus, découvrez l’interview de Valeria Ronzitti, Secrétaire Général du CEEP en Pologne :
Investissements Européens et Services Publics
Afin de promouvoir un développement harmonieux sur l’ensemble de son territoire, l’Union Européenne a pour ambition de renforcer sa cohésion économique, sociale et territoriale.
Elle vise, en particulier, à réduire l’écart entre les niveaux de développement des diverses régions qui la composent. Pour ce faire, des « investissements supplémentaires devraient être tournés vers les infrastructures, en particulier les réseaux à haut débit et les réseaux d’énergie, ainsi que les infrastructures de transport dans les centres industriels, l’éducation, la recherche et l’innovation, les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique » prévenait J. C. Junker dans son discours de candidature à la présidence de la Commission Européenne.
Rendre l’énergie plus sûre, abordable et durable ; stimuler la croissance et l’emploi, sans créer de nouvelles dettes et supprimer les obstacles pour exploiter pleinement les possibilités offertes par internet voici trois des axes prioritaires de la Commission européenne qui permettront de renforcer la cohésion économique, sociale et territoriale de l’Europe et assurer un développement plus harmonieux du territoire.
Les Services d’Intérêt Général (SIG) et Services Economiques d’Intérêt Général seront les acteurs relais privilégiés de cette politique.
L’importance que l’Union attache à l’accès de tout un chacun aux services d’intérêt général est sans cesse réaffirmé par la Commission Européenne, avec l’exigence que « la garantie d’un accès universel, la continuité, la haute qualité et le caractère abordable constituent des éléments clés d’une politique des consommateurs dans le domaine des services d’intérêt économique général », notamment dans les domaines de l’énergie, de l’éducation et de la recherche et Innovation en matière numérique.
Ce dossier s’attachera à donner la parole aux acteurs de cette ambition Européenne et à en présenter les principaux rouages souvent méconnus de leurs destinataires : les européens.